Le Jour Où J’Ai Vendu Mon Corps Aux Enchères - 4

Déshabilles-moi, lèches-moi, me dit Patricia qui vient de m’acheter et de m’entrainer dans cette pièce où j’ai déjà été baisée et enculée plutôt dans la soirée.
Nous sommes toujours face à face à se rouler une pelle d’enfer. Lentement, je fais glisser la fermeture éclair de sa robe. Elle descend jusqu’au creux de ses reins. Je fais couler les épaulettes et découvre son buste. Elle a un petit soutif à balconnets qui cache à peine les tétons.
Patricia est une jolie petite brunette de 1m50 pas plus mais avec des seins assez volumineux, surtout pour sa taille. Je dégrafe son soutien et le fais tomber. Ses seins sont vraiment splendides. Sans qu’elle ait besoin de me commander, je les prends en main et les pétris. Ils sont bien fermes, en formes de poires, tétons pointant avec arrogance. Je ne peux m’empêcher de les prendre en bouche. Je les suce, les lèche, les mordille avec avidité.
- Ben ma cochonne pour quelqu’un qui n’aime pas les filles tu te débrouilles bien ! Allez vires-moi ma robe et mon string qu’on puisse s’amuser toutes les deux !
Je ne me reconnais plus. Voilà qu’en tremblant d’impatience j’enlève cette robe qui nous gène et je m’affaire sur le petit string de ma belle. Patricia est merveilleusement belle. Un ventre bien plat, une belle peau laiteuse, surprenant pour une brune. Et un pubis ! Un mont de vénus comme je rêverai d’en avoir un. Une belle touffe bien taillée en ticket de métro… brune bien sûr, et en dessous des grandes lèvres charnues. Humm, je vais me régaler !
Nous sommes donc toutes deux nues comme au premier jour, enlacées, bouches soudées, nos seins se frottent, nos chattes se frôlent…. Patricia me rend folle. J’ai envie d’elle. Là, tout de suite, maintenant.
- Calmes-toi ma chérie. On a tout notre temps. Caresses-moi encore les seins, mon ventre mes fesses. Tu auras ma chatte que si tu me caresses bien…
Ma bouche revient donc sur les mamelons de Pat. Je les tête, les aspire.

Ma langue titille les pointes bien érigées, l’une après l’autre, tandis que je ma droite descend dans l’entrecuisse à la recherche de sa chatte.
Je quitte à regret ces nichons qui me rendent dingue et j’embrasse, je lèche tout son corps. D’abord son ventre puis son nombril que j’agace du bout de ma langue. Enfin j’arrive sur son pubis puis sur sa fente. Quel bonheur de mordiller ses grandes lèvres dodues à souhait. Avec mes doigts j’écarte les nymphes de ma chérie à la recherche de son clito. Il est déjà tellement en érection que je n’ai pas de mal à le trouver. Je l’excite d’abord avec mes doigts avant de le titiller avec ma langue.
Patricia à l’air d’aimer çà ! Elle se tortille comme un ver en poussant de petits gémissements révélateur du plaisir que je lui procure.
- Oui ma chérie, encore lèches-moi bien ma petite bite, c’est si bon !
C’est vrai que vu le volume qu’a pris son clito, il ressemble à une toute petite queue. J’introduis ensuite un doigt dans son vagin et je fouille enfin son joli con. Pat râle de bonheur.
- Viens mon amour, en69 on pourra profiter l’une de l’autre.
Je n’ai pratiquement jamais fait de 69 avec mes différents amants et voilà que j’en pratique un sublime avec une merveilleuse nana !
Je reprends mon exploration de sa cramouille sans oublier de lécher le clito. Pat elle s’est attaquée aussi à ma chatte. Elle me fouille les entrailles divinement, bien mieux que les mecs. Elle n’oublie pas de lècher mon anus et de le masser. Mon petit trou encore un peu dilaté de la sodomie d’Allou s’ouvre rapidement sous sa caresse et elle peut aisement y introduire un doigt. Je joui sans pouvoir me retenir. Pat lèche avidement ma cyprine avant de jouir à son tour.
- Viens ma Sophie, baisons maintenant…
Je suis un peu surprise car elle n’a pas de gode. Je suis de toute façon prête à faire n’importe quoi avec elle.
Pat nous fait mettre face à face, mes jambes entre les siennes. Nos moules se touchent.
C’est bon.
- Colle-toi contre moi ma chérie. On est nos chattes sont tellement mouillées qu’elles vont se soudées ensemble.
C’est magique. Je sens son con contre le mien. Ils font ventouses. Pat remue lentement son bassin, puis de plus en plus vite. J’ai la même sensation que quand j’ai une bite qui me baise. Nos bouches se rejoignent, nos nibards se malaxent mutuellement.
Pat donne de violent coup de chatte contre mon abricot. J’en peut plus et j’ai le lus bel orgasme de ma vie. Je ne peux m’empêcher d’hurler.
- Ouiiiiiii, je joui ma chérie, c’est boooonnn ! Encore, baises-moi encore !
Pat ne tarde pas à jouir aussi. Un flot de cyprine coule de sa fente béante et pénètre dans la mienne toute aussi ouverte.
Nous nous allongeons sur les tatamis, épuisées. Aucun homme ne m’à vidé comme çà. Mes jambes flageolent, je tremble de tous mes membres.
Patricia me sert dans ses bras. Elle m’embrasse tendrement. On se caresse mutuellement en se regardant dans les yeux. On se sourit. On est heureuse tout simplement.
Après 5 bonnes minutes de récupération et de tendresse, Patricia se redresse et me dit :
- Mon amour, je n’ai pas de queue pour te pénétrer et je sais que tu en a envie, mais je peux quand même te remplir ta fente juteuse… Allonges-toi et écartes bien tes cuisses…
J’obtempère, curieuse du traitement que ma maîtresse me réserve. Mais j’ai confiance en elle. En fait je crois que je suis un peu amoureuse.
Pat s’installe entre mes jambes et commence à me doigter la chatte. D’abord avec un doigt, puis un deuxième. J’aime çà et je lui dis. Pat alors entre un 3ème doigt dans mon con. Il rentre sans problème.
C’est 4 doigts fins et délicats qui me fouillent les entrailles. Je remue mon cyl dans tous les sens pour mieux sentir.
- Restes tranquille ma Sophie, je vais y mettre le pouce !
Je sens bien les 5 doigts de ma chérie dans mon vagin. Pat continue à pousser. J’halète de plaisir.
La paume de la main est entrée, puis le poignet. Me voilà fistée pour la première fois de ma vie et j’adore çà !
- Tu sens bien comme je te fouille ?
- Ho ouiii, vas-y mon amour, pénètres-moi encore plus loin !
Patricia arrive encore à rentrer de quelques centimètres, puis elle se retire.
J’ai un sentiment de vide. Mon vagin a besoin d’être encore fouillé, envahi.
Je joui une énième fois et je reste anéantie sur les tatamis.
- Viens mon amour, il faut retourner dans la salle maintenant. Je te redonne ta liberté. Tu peux te rhabiller. Si tu veux, on rentre à la cité U. ma chambre est dans le même bâtiment que toi. On finira la nuit dans mon lit.
J’accepte avec joie. Pat me donne mes fringues. Ça me fait tout drôle d’être à nouveau vêtue, moi qui vient de passer 3 heures à poil !
Nous quittons discrètement la salle et rentrons chez pat. Nous avons encore l’amour une partie de la nuit avant de s’endormir, épuisées.
Nous avons vécu ensembles pendant 3 mois avant d’avoir l’une et l’autre besoin d’une bonne grosse queue dans nos trous…

FIN

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